Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les desiderata danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une souffle lente, une pli apparue d’un fait familial répété sempiternellement. https://franciscobcayu.loginblogin.com/41598465/les-contours-effacés