Dans un seul cabinet localisé en périphérie de plagnes, une acupunctrice pratiquait son art pendant plus de dix années dans une discrétion omnipotente. Les murs en bois soigné, l’odeur d’huiles essentielles et le vacarme constant formaient l’écrin parfait pour les séances chaque jour. Jusqu’au clarté où, en plantant une aiguille https://judahowxwu.tribunablog.com/la-première-pulsation-48435482