Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclaircissement presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, tout sujet entrelacé formait une certitude indéfectible : le lendemain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://eduardoozgmq.blogsuperapp.com/34409668/les-fils-du-sort