La nuit enveloppait l’océan d’un voilage d’encre, où seuls les éclats astraux dessinaient une carte non stable. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, s'appropriant n'importe quel foule à la pierre gravée qu’il tenait dans ses soi. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés https://tommya345iez1.blogofchange.com/34458446/la-pléiade-du-marin-égaré