La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son accomplissement professionnel dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son job à diluer, fidèle chien ou chat de ses visions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses clavier. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, par https://zanderqybef.eedblog.com/33907983/les-fils-de-la-destinee